Le projet de convention du Conseil Général du 9 juillet 1999 pour l'octroi d'une subvention d'investissement destinée à soutenir le développement du trafic d'affaires a provoqué une levée de boucliers.

• Déja, en 1998, Mr Paternotte, conseiller Général, maire de Sannois (président du CEEVO, Comité d'expansion économique du Val d'Oise), par ailleurs président de l'Apelna(contre l'extension de Roissy),  a tout fait pour permettre le décollage de Debonnair en s'invitant à la dernière minute à la CCE du 12 novembre 1998 en lieu et place de Mr Gourmelen par un arrêté préfectoral du 10 novembre 1998 .
• La Dirap et L'Aovn écrivent au préfet le 17 juillet 1999.
• Motions du Parc Naturel du Vexin et de quatre associations.
• Délibérations de 18 Conseils municipaux et du Canton de Marines.
• Réunion publique le 7 octobre 1999 (1200 personnes à Cormeilles en Vexin…..Lire la presse).
• Lettre des Amis du Vexin au Conseil Général.
• Réponse des élus à la motion des amis du Vexin.
• Dans la lettre du Président du Conseil Général de février 2000, le President Scellier essaie maladroitement de  justifier son investissement en prétextant être contraint par les accords de Schengen (ce qui est faux) alors que le texte même de la convention du 9 juillet 1999 parle de soutien au développement économique.
• Ce que disent en réalité les accords de Schengen:"Étant donné que le trafic est, en règle générale, sporadique dans les aérodromes, on peut en principe renoncer à mettre en place des structures destinées à la séparation  physique entre les passagers de vols intérieurs et de vols internationaux.(Acquis de Schengen - Décision du Comité exécutif du 22 décembre 1994 concernant l'introduction et l'application du régime Schengen dans les aéroports et les aérodromes [SCH/Com-ex (94) 17, rev. 4])
• Le Président  Scellier est pour l'ouverture de Pontoise-Londres en novembre 2001.